
samedi 30 mars 2013
Coup de coeur, ma rencontre avec Ozoua, une écrivaine Martiniquaise

vendredi 8 mars 2013
8 Mars, n'oublions pas les femmes malades mentales dans nos rue...
Dernier post à l'occasion de la journée mondiale de la femme. une grande pensée aux femmes malades mentales errantes qui meritent une réelle assistance du gouvernement du sénégal et des populations sénégalaises. je relais, ce cri de coeur du président de l'association pour le soutien des malades mentaux du sénégal, Ansoumana Dione.
8 Mars decouvrez les "Visages de Femmes..."
« Visages de femmes », est un projet
photographique lancé par l’association Trias culture, il ya quelques mois de cela
à Dakar. Montrer, le visage des femmes actrices de développement dans leur
quotidien, est l’objectif de ce programme, qui a déjà formé plus d’une
cinquantaine de femmes dans la capitale sénégalaise. Les quartiers de Medina,
Grand Dakar, Pikine et Toubab Dialaw, sont concernés par ce projet. A l’occasion
de ce 8 Mars, journée mondiale de la femme, des expositions photos sur écrans
geants se tiendront dans ces quartiers de la capitale.
Entretien sonore avec Fatim
Faye, femme actrice de développement habitante à Toubab Dialaw et membre
de ce
programme.
lundi 4 mars 2013
Drame de la Medina: Nous sommes tous coupable!
L’oubli l’emportera encore sur le drame de la Medina. Comme ce
fut le cas avec le naufrage du bateau le Joola. Cet incendie qui a tué 9
enfants n’émeut que pour quelques jours les populations que nous sommes. Ravagé
par un feu cruel, ces bouts de bois de Dieu sont enfin au paradis, à l’abri de
l’insouciance des hommes et femmes que nous sommes. Triste drame, cruelle fin…l’incendie
de la Medina est notre faute collective. Je me demande quel sort méritent les
parents de ces enfants qui ont été abandonnés ? Honte à nous, pays de la
teranga d’avoir fait de nos enfants les
victimes de notre laxisme. Combien d’années que cela durera, ce théâtre affreux
qui met en scène notre indifférence notoire face à la problématique des enfants
talibés ? Combien de temps ...?
Les daaras (écoles coraniques)
existent dans nos quartiers. Des enfants y sont entassés, dans des bâtiments
hideux, abandonnés, et tout le monde le sait mais personne ne réagit. Personne
ne semble préoccupé réellement par cette question, ni les populations, encore
moins les dirigeants. Le sénégalais est un
habitué des drames et les talibés payent le plus lourd tribut. Comme si cela ne
suffisait plus de les laisser mourir dans les accidents de circulations, il
faut maintenant qu’ils brulent dans des daaras. Pauvre de nous, nous sommes
tous coupable.
vendredi 1 mars 2013
Reportage: Amoniak débarque sur vos murs...
Passionné, engagé, le message du groupe Amoniak passe fort
dans les rues. Ce groupe de graffiti représente depuis quelques années au Sénégal,
le style de cet art pictural propre au Hip Hop et qui s’impose peu à peu
dans le décor des quartiers de la capitale. Fresques murales géantes multi
-couleurs, les œuvres de ce groupe de
graffiti interpellent, sensibilisent et parfois dénoncent…
Composé de 7 membres, qui habitent Rufisque, Thiaroye et Yeumbeul,
le groupe Amoniak incarne l’image du
graffiti dans la banlieue dakaroise. Xatimystik, un des membres du groupe nous
confie que… « Amoniak c’est tout un art de vivre dicté par une passion (…) ».
Une passion qui est sans limite, ce qui a sans doute conduit le jeune Tagueur, Xatimystik,
ancien de l’école nationale des arts de Dakar
à écrire son mémoire de fin d’étude sur
le graffiti.
L’ancrage de ce groupe de graffiti à Dakar, n’empêche pas ces membres d’initier des projets à l’intérieur du pays. Une façon pour ces tagueurs
de décentraliser des initiatives vers d’autres cieux. Ainsi un projet est en
cours dans la région de Kaffrine. Plusieurs villages de cette région ont bénéficié des œuvres du groupe Amoniak dessinées sur les murs des écoles élémentaires.
Reportage: Amoniak débarque sur vos murs...
Passionné, engagé, le message du groupe Amoniak passe fort
dans les rues. Ce groupe de graffiti représente depuis quelques années au Sénégal,
le style de cet art pictural propre au Hip Hop et qui s’impose peu à peu
dans le décor des quartiers de la capitale. Fresques murales géantes multi
-couleurs, les œuvres de ce groupe de
graffiti interpellent, sensibilisent et parfois dénoncent…
Composé de 7 membres, qui habitent Rufisque, Thiaroye et Yeumbeul,
le groupe Amoniak incarne l’image du
graffiti dans la banlieue dakaroise. Xatimystik, un des membres du groupe nous
confie que… « Amoniak c’est tout un art de vivre dicté par une passion (…) ».
Une passion qui est sans limite, ce qui a sans doute conduit le jeune Tagueur, Xatimystik,
ancien de l’école nationale des arts de Dakar
à écrire son mémoire de fin d’étude sur
le graffiti.
L’ancrage de ce groupe de graffiti à Dakar, n’empêche pas
ses membres d’initier des projets à l’intérieur du pays. Une façon pour ces tagueurs
de décentraliser des initiatives vers d’autres cieux. Ainsi un projet est en
cours dans la région de Kaffrine. Plusieurs villages de cette région ont
béneficié des œuvres du groupe Amoniak dessinées sur les murs des écoles élémentaires.
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