dimanche 21 octobre 2012

Le lycée Abdoulaye Sadji meurt en silence!



Cette image montre la façade principale du lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque. Toiture vétuste, murs craquelés, Ce vieux bâtiment colonial, qui était le collège des jeunes filles avant de devenir le lycée Abdoulaye Sadji, est aujourd’hui dans un état de décrépitude très avancé. 


Un simple regard sur la bâtisse qui affiche désespérément ses fenêtres ballantes, nous renseigne sur la vétusté des lieux. Et pourtant des centaines de jeunes y fréquentent. Ce témoignage de Moussa Sarr, un jeune lycéen en classe de 1ére L, donne froid au dos...  :

mardi 16 octobre 2012

sénégal-cote d'ivoire: Non mon peuple n'est pas violent...


Au moment où l’amertume est le sentiment le mieux partagé chez les supporters sénégalais, les réactions d’après match se poursuivent et me désole à plus d’un titre. Un match interrompu à cause de la colère des supporters qui jetaient des projectiles sur la pelouse, est un comportement regrettable qui n’honore pas le faire Play. Mais la violence dans les stades, on en voit partout et même dans les plus grands pays de football au monde. Imputer la colère de certains supporters « idiots » au peuple sénégalais est mal nous connaitre. Nous sommes un peuple grand, nous sommes un peuple digne. N’en déplaises à certaines personnes…

samedi 13 octobre 2012

immigration clandestine: le phénoméne refait surface...


Sommes-nous entrain d’assister à une recrudescence du phénomène de l’immigration clandestine ? Ces derniers jours de nombreuses pirogues quittent nuitamment les cotes sénégalaises pour rallier les cotes espagnoles. Abord de ces pirogues, des passagers clandestins, candidats à la traversée.  « Sur les cotes marocaines, une pirogue sénégalaise a échoué avec abord des dizaines de passagers d’origine nigerianes, seul le capitaine de la pirogue était de nationalité sénégalaise» renseigne  Mamadou Diop Thioune  co-coordonnateur de la plateforme « pêche et migration ».


Au delà de la  recrudescence de ce phénomène Mamadou Diop interpelle les autorités locales à faire la lumière sur les fonds allouer à la lutte contre l’immigration clandestine, qui semble t-ils ont été détournés par certaines autorités tapis dans l’ombre.

mardi 9 octobre 2012

Bus Tata, champion des surcharges…


Début octobre. Ici la canicule n’est pas tendre. Un soleil de plomb dicte sa loi à Dakar, il fait chaud et le dire ainsi, est presqu’un euphémisme. Sur la route l’enfer est vécu par les usagers des transports en commun. Cars rapide surchargés, bus Tata bondés de passagers, le tout, fondu sous le décor hideux des embouteillages. Ces trois dernières années, le secteur du transport en commun dans la capitale dakaroise, a connu l’arrivée de nouveau bus, dit TATA.